Que le problème étant enfin reconnu, il est déjà à moitié résolu. Toutes les sagesses ancestrales nous l’enseignent.

Que crise ne signifie pas dépression mais état de rupture, de changement.

Que face à une situation de crise, rien ne sert de crier aux loups (référence aux nouveaux sites internet américains désignant, ce qui est intolérable, une fois de plus le lobby de la finance juive américaine comme responsable de tous ces maux).

Rien ne sert non plus de pleurer ni de se lamenter !

Mais Ô combien faut-il se remettre en question ! Remettre en question un système financier qui implose si régulièrement (Octobre 1987 n’est pas si loin) ; remettre en question ces comportements d’apprentis sorciers qui entrainent avec eux tant d’individus dans leur chute alors même qu’on leur confie la direction de nos politiques économiques.

Redonnons un droit de regard à l’Etat sur la bonne marche de notre système bancaire qui se doit d’être au service de l’économie et non l’inverse.

Reprenons collectivement courage et conscience de la chance que nous avons de vivre dans des sociétes modernes qui nous nourrissent et nous protègent même si d’énormes progrès restent à faire vers toujours plus d’humanité…

Aline Picovschi

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