Selon le professeur Bernard Bégaud, la surconsommation de tranquillisants et de somnifères sur des années favoriserait l’apparition de la maladie d’Alzheimer.
Selon les chercheurs, il semblerait que ce soit des molécules appelées benzodiazépines (BZD) retrouvées dans les anxiolytiques, les responsables.
Il affirme aussi que le lien pourrait aussi être la dépression, car de nombreux travaux ont montré que la dépression augmentait le risque de contracter l’Alzheimer.
Les médecins ignorent toujours comme agissent les BZD sur le cerveau pour augmenter ce risque.
Le professeur demande donc de limiter les prescriptions de tranquillisants et somnifères. Il énonce : « Si en épidémiologie, il est difficile d’établir un lien direct de cause à effet, dès qu’il existe une suspicion, il paraît normal d’agir et d’essayer de limiter les nombreuses prescriptions inutiles ».
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